C'est la question posée par l'universitaire américaine Joan Donovan apres que quelques un de ses pairs ont lancé des enquêtes sur les réseaux sociaux sur les émeutiers du capitole.
These are technologies of surveillance, and so use of them by the public to turn crowds into cops seems to me to be a very dangerous impulse.
Mozilla se voit amputée d'une bonne partie de ses ressources par son concurrent direct, Google. La fondation annonce dans la foulée le licenciement de 250 de ses salariés.
De nombreuses organisations de défense des libertés numériques, essentiellement anglo-saxonnes (Access, FSF, Mozilla, GNOME, etc.), sont financées par Google ou Facebook. Ces deux entreprises ne sont pourtant des acteurs sains ni pour Internet ni pour la démocratie, en témoigne le scandale Cambridge Analytica ou la condamnation de Google à une amende de 50 millions pour non respect du RGPD. Je publie ici la traduction du billet d'Aral I was wrong about Google and Facebook: there’s nothing wrong with them (so say we all) qui pointe l'hypocrisie de ces organisations.
En cette période d'élection, je scrute les réseaux sociaux, je me fais des revues de presse, j'écoute même la matinale de France Inter. Au cours de cette immersion dans le monde de l'information sur la présidentielle, j'ai découvert une population dont j'ignorais l'existence : les abstentionnistes en mousse.