Je ne suis pas devenu infréquentable, mais Pierre Garbownik oui. C’est ce qu’il raconte sur Facebook (le boomer !) dans un long post repris par le Huffington Post en expliquant comment il est devenu petit à petit le casseur d’ambiance en soirée à toujours la ramener avec ses préoccupations écolos reloues. Spoiler alert : ses préoccupations ne sont pas reloues.
En ce premier novembre, on va parler de morts ou plutôt de futurs morts. Selon le journaliste et auteur Cory Doctorow, Facebook, Twitter et toutes les plateformes de réseau sociaux mainstream sont mourantes et ne doivent leur survie qu’à notre propre dépendance.
La chasse aux Fakenews, que ce soit à coup de labellisation ou de loi est vouée à l'échec. Le problème principal n’est pas les Fakenews mais leur véhicule.
OK le retour des fascistes en Italie, la guerre en Ukraine, l'inflation et le réchauffement climatique partout dans le monde. MAIS les gens – de plus en plus nombreux – qui disent « belle journée » et son pendant tardif « belle soirée », ON EN PARLE ?
Total engrange un bénéfice record et EDF une perte historique. Tel un soldat de la startup nation, je propose une solution permettant de transformer cette difficulté en opportunité.
Vous connaissez FAF, la newsletter de StreetPress qui décrypte l'extrême droite en braquant un projecteur sur les arrières cuisines souvent peu reluisantes de ce mouvement politique nauséabond ? Il y a un bonne et une mauvaise nouvelle.
Je n'ai jamais été du camp des macronistes, trop libéraux pour moi, trop déconnectés, trop cyniques. Mais je les pensais républicains. C'est pour cette raison que l'expression «dictature macroniste » m'a toujours semblé ridicule. Jusqu’à ces dernières législatives.
À quel moment après avoir travaillé 10 ans sur les libertés numériques tu annonces avec fierté que tu t'en vas travailler chez Meta ? Quelle est la logique ?
(les noms des impétrants de cette histoire ont été supprimés afin d’assurer leur protection contre les hordes de militants des libertés numériques qui comme chacun sait sont à l’image d’Internet, sauvages et cruels)